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Les Iroquoiensnatanne
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*Ohé, oHé, ohÉ… ohé, ohé, ohé.
Ohé, ohé, ohé… ohé, ohé, ohé.

 

Les hommes, dès la préhistoire,

se sont toujours déplacés.

Ils vivent de ce qu’ils chassent.

Nomades. 

Flairant le gros gibier.

Pour se protéger du froid,

peaux et plumes. Ha! Et du bois.

(chant autochtone)

 

Dans les années 1500

le long du St-Laurent
et de trois grands lacs,

ils étaient installés.

 

Ohé, ohé, ohé… ohé, ohé, ohé.
Ohé, ohé, ohé… ohé, ohé, ohé.

 

Certains passent de l’Afrique
à l’Europe, puis l’Asie.

Même en Amérique du Nord

sur une bande de terre
nommée Béringie.

D'autres seraient venus du sud,
habiter, Ha! , un territoire dégelé.

 

(chant autochtone)

 

Dans les années 1500

le long du St-Laurent
et de trois grands lacs,

ils étaient installés.

 

Ohé, ohé, ohé… ohé, ohé, ohé.
Ohé, ohé, ohé… ohé, ohé, ohé.

 

Plaines, collines et vallées,

ils se sentent attirés.

Devenant semi-sédentaires,

les berges, ils vont cultiver.

Dans une forêt abondante.

Petits fruits. Ha! Quelques plantes.

Droits d'auteurs, compositeurs et interprètes applicables

Nathalie Chagnon  Anne Guilbault  Jean-Michel Soudre  Johanne Pineault 2020

Ce projet a été rendu possible grâce au soutien financier du Conseil de recherches

en sciences humaines du Canada (CRSH) et de l'appui de l 'UQÀM

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